Bien plus qu’un nom, Barclay est une histoire collective, celle de la French culture.
Le studio s’appuie sur trois logos Barclay historiques pour composer trois Play Barclay iconiques.
Comme un voyage dans le temps, dans le temps du label. Ich&Kar marque son empreinte avec 3 dessins typographiques d’anthologie, un parti pris fort qui retrace la chronologie Barclay et qui parlera à autant de générations de fans.
chaque volume de la collection est travaillé en deux couleurs, pop, sweet, engagées, festives.
Les sous-pochettes sont dessinées en kaléidoscope comme les rayons d’un soleil dont les éclats vibrent avec tempo.
Le volume 1 C’est extra en rose poudré et rouge ferrari
Le volume 2 À la folie en vert buvard et jaune pétard
Le volume 3 J’adore en bleu pastel et orange mécanique
"Célébrer l’anniversaire d’un label musical, c’est feuilleter les pages d’une histoire collective : celle de la culture, du divertissement et d’une certaine flamboyance des plaisirs comme des sentiments et des combats."Christophe Conte
Pour cette anthologie Ich&Kar a voulu une explosion de surprises… ainsi dans chaque vinyle on trouvera une planche d’autocollants célébrant les artistes présents dans la compilation. Un travail typographique qui emprunte aux fanzines punk et aux alphabets fantaisie du début du siècle dernier. Chaque nom d’artiste est composé avec attention pour asseoir les personnalités de manière un brin dada
Ich&Kar réalise également leurs outils de communication digitale en motion design pour les réseaux sociaux.
Barclay fête cette année ses 70 ans. Dans le premier volume d’une série de trois compilations dédiées à l’histoire du label, sont regroupés autour de la thématique « chanson », des titres choisis pour leur beauté, leur intemporalité, à travers un mélange de standards et de morceaux plus rares. Environ la moitié de ces titres sont issus de la période Eddie Barclay, des débuts avec l’emblématique « C’est extra » de Léo Ferré jusqu’à l’ultime enregistrement de Jacques Brel en 1977, « Les Marquises ». On retrouve aussi une sélection des artistes qui ont fait le Barclay originel (entre autres, Dalida, Charles Aznavour, Nicoletta, Nino Ferrer, Daniel Balavoine ou Eddy Mitchell) et ceux qui, de Bernard Lavilliers à Philippe Katerine, Alain Bashung, Vanessa Paradis ou Stephan Eicher, en ont perpétué l’exigence et l’impertinence. En fin de programme, pour témoigner de ce mouvement perpétuel qui caractérise le label, de plus récents pensionnaires (Carla Bruni, Calogero, Juliette, Marc Lavoine, Thomas Dutronc ou encore la jeune Marie Poulain) viennent ajouter leurs noms à son histoire. Les deux autres volumes suivront l’an prochain, l’un consacré à la pop, le dernier au rock, au rap, aux musiques du monde et à l’électro. Disparu en 2005, Eddie Barclay aurait sans doute contemplé, l’œil rieur, ce bilan (provisoire) avec une fierté certaine. Puis il se serait resservi une coupe. Tchin !
